Mme Marie-Hélène Des Esgaulx. Monsieur le secrétaire d’État, je suis très sensible à ce que vous avez dit. Il est vrai que je n’ai rien appris, mais quand il n’y avait que moi pour vous le dire, vous ne me croyiez pas ! À présent, c’est la Cour des comptes qui le dit ! Cela a tout de même une valeur beaucoup plus importante.