Cette disposition me semble en tout cas vraiment cohérente avec la proposition de loi que nous examinons aujourd’hui. C’est donc avec bienveillance que le Gouvernement perçoit l’article 7.
Mesdames, messieurs les sénateurs, comme j’ai déjà été conduit à l’affirmer, le Gouvernement est très favorable à cette proposition de loi et il s’honore d’avoir créé les conditions pour que le débat ait lieu. Après l’Assemblée nationale, j’espère que le Sénat partagera cette vision, afin que les intérêts des Corses et de la Corse soient préservés et qu’un retour au droit commun soit assuré dans les meilleures conditions.