Peut-être avez-vous oublié votre incapacité à prendre la mesure des émeutes, en 2005, et à y répondre ? Elles ont duré plusieurs dizaines de jours sans que vous sachiez comment y mettre fin.
Je n’ai pas l’intention d’être le ministre de l’intérieur qui attise le feu, car personne n’a rien à gagner, dans les circonstances présentes, à de telles mises en cause.