J'ai deux questions, l'une pour l'ancien législateur et l'autre pour le professeur. Premièrement, la ministre de la santé s'est exprimée sur la nécessité de simplifier les procédures et de raccourcir les délais. Cela ne s'accompagnera-t-il pas d'une augmentation du risque ? Deuxièmement, l'Agence européenne du médicament travaille à l'amélioration des protocoles d'essais cliniques par la mise en place d'un nouvel outil. Mais il existe une lacune puisqu'à défaut de réponse dans un délai de deux mois le laboratoire peut considérer que l'essai est accepté. Ne devrait-il pas plutôt considérer que l'essai est refusé ?