Je salue le travail considérable réalisé par Michel Barnier, en synergie avec ses collègues. Le règlement EMIR amorce l'obligation de déclaration des produits dérivés, avec l'idée d'une convergence dans un système de compensation permettant de suivre les flux financiers. Quelles sont les perspectives ? Si c'est business as usual, avec un foisonnement de produits non maîtrisés, on risque une nouvelle crise.