Merci, monsieur le ministre, de cette réponse très détaillée.
Je souhaite également dire quelques mots de l'Ukraine, où je me suis rendu à plusieurs reprises. Je suis d'ailleurs l'auteur de deux rapports consacrés aux relations entre ce pays et l'Union européenne, un que j'ai établi seul et un autre que j'ai élaboré avec notre collègue Gérard César.
À mon sens, il faut inviter les autorités de transition à la plus grande prudence. Le texte voté par la Rada au sujet de la langue russe relève presque de la provocation !