Les rapporteurs, dont je salue le travail, ont souligné la baisse de 12 % des crédits. L'audition de M. Lamassoure a également éclairci ce point pour nous. Les inquiétudes budgétaires sont donc légitimes.
Les références historiques ne peuvent plus convenir aujourd'hui, ni humainement, ni politiquement. Nous avions déjà souligné dans notre rapport d'information, il y a deux ans, que l'environnement faisait partie des biens publics. Au-delà des questions budgétaires, il convient de respecter la nature, les animaux, et bien sûr les personnes, et ce n'est pas contradictoire avec un meilleur rendement. L'essentiel du deuxième pilier va être capté par les régions, qui l'utiliseront pour faire leur politique. Attention toutefois à ne pas avoir 22 politiques régionales.