Cela fait partie de la question : ils veulent bien les capitaux et les marchandises, mais pas les personnes.
Il existe un autre débat, que l'on retrouve également en France : nous déléguons de plus en plus notre souveraineté nationale à des organes nouveaux, comme la BCE. Considérez la politique budgétaire aujourd'hui : le Parlement ne pèse plus tellement dans l'élaboration du budget, face aux différents critères et au contrôle de la Commission ! Il s'agit d'une perte de souveraineté progressive.
Peut-être n'ose-t-on pas trop le dire. Politiquement, c'est dangereux, mais la réalité est là !