En octobre 2013, le Sénat avait adopté, sur le rapport de notre ancien collègue Roland Ries, une résolution européenne qui exprimait des réserves sur l'ouverture à la concurrence et déplorait la méfiance de la Commission européenne face à toute entreprise ferroviaire verticalement intégrée.
Les négociations sur le quatrième paquet ferroviaire viennent de se conclure, même s'il reste encore quelques points à régler. Quel en est le résultat ? Qu'est-il advenu des préoccupations exprimées par le Sénat ?