Les professionnels nous demandaient d'aller à 5 %, le seuil de 3 % me paraît raisonnable : à eux de faire attention à ne pas jeter leur chalut dans des zones à risque. Le bar ne relevait et ne relève toujours pas des TAC, contrairement au voeu exprimé par la France, mais il est soumis à une réglementation européenne ad hoc qui est drastique mais ce qui nous importe ici, c'est de ne pas tuer la pêche artisanale, laquelle ne menace pas la ressource par ses prélèvements. Une interdiction de trois mois est équilibrée, puisqu'elle permet aux bars de se reproduire... et aux pêcheurs de vivre de leur pêche artisanale.