Monsieur le Premier ministre, je vous remercie de vos propos empreints de sérénité sur un sujet sensible.
Ma question porte sur la problématique de l'information, ou plutôt de l'absence d'information. En effet, les contraintes strictes entourant l'information sur ce traité ont paradoxalement entraîné plus de communication, parfois fausse, que d'absence de communication. On sait aussi que nos amis américains imposent régulièrement des règles à leurs partenaires tout en s'en affranchissant eux-mêmes.
Est-ce que cette obligation de non-communication qui prévaut en Europe est aussi valable aux États-Unis ?