Lorsque je me suis installé au Luxembourg, il y a 40 ans, ce dernier apparaissait comme un gros village et la France était jugée prospère. Aujourd'hui, il y a 100 000 travailleurs frontaliers au Luxembourg, dont 80 000 francophones et 60 000 Français. Et il y a peu de chômage au Luxembourg car ce sont les frontaliers qui font l'équilibre. Les rapports de forces se sont inversés.
Il faut savoir que le Luxembourg fait vivre toute la Lorraine et qu'il fait maintenant la richesse de villes comme Thionville, Metz et même Hayange.