J'ai peu à ajouter. Nous avons senti une réelle volonté d'adhérer à l'Union, une forte motivation, alors même que l'adhésion demandera des évolutions très profondes, notamment pour ce qui concerne l'énorme secteur public. La réforme judiciaire est un point essentiel. Nous avons vu le cas de magistrats démis dans des conditions anormales, qui ont dû attendre un an pour que leur réintégration soit acceptée. Mais je conviens que notre but doit être d'aider à aller dans le bon sens, non d'utiliser les insuffisances pour retarder les négociations.