Je souscris globalement à cette proposition de résolution, qui relève à juste titre l'entame au principe de subsidiarité, mais mieux vaudrait à mon sens se garder de proclamer urbi et orbi l'excellence et la parfaite transparence de nos sociétés d'auteurs, dont bien des artistes, compositeurs ou interprètes contestent l'organisation - en tout cas celle de la Sacem et de la SACD, moins de la Scam. Au regard de quoi nous ne sommes guère fondés à lancer des « cocorico ».