Autrefois, les fédérations agricoles allemandes et françaises coopéraient étroitement pour trouver des compromis satisfaisants pour les agriculteurs des deux pays. J'appelle de mes voeux un retour à cette pratique. Plutôt que de comparer les avantages obtenus par chacun et de se déchirer devant la Commission européenne, essayons de définir ensemble des objectifs et des solutions. Quand les syndicats agricoles des deux pays s'entendront, les politiques suivront.