Oui, c'est vrai, il faudrait faire comme les Allemands et les Italiens, mais les acteurs concernés ne veulent pas se fédérer. En ce moment, l'État fait des économies et le budget d'Ubifrance est modeste, mais ma ligne est claire : privilégier l'accompagnement des entreprises dans la durée, ce qui modifie le travail d'Ubifrance. Je vais privilégier la montée en gamme du personnel par rapport aux dépenses d'intervention. Ma proposition de réforme consiste en des économies de structure importantes. L'idée est de mieux servir les entreprises et c'est aussi pour cela que j'ai modifié les financements à l'export.