En effet. J'ai siégé durant quelques années, en tant que représentant du Conseil général, au sein d'un groupe de défense sanitaire (GDS) départemental. On sent les participants motivés ; ce sont des gens de grande qualité. Les frontières départementales ne veulent plus dire grand-chose. Il vaut parfois mieux raisonner par bassin d'élevage.
Nous avons donc un système performant, à la fois du côté des éleveurs, mais aussi parmi les services de l'Etat -même s'ils sont parfois, lorsqu'il s'agit d'exportations agroalimentaires, un peu rigides...
Qu'en est-il ailleurs ? Sait-on ce qui se passe dans les autres pays européens ? Personne n'a intérêt à tirer les choses vers par le bas, compte tenu des enjeux pour notre agriculture et pour nos éleveurs.