Efforçons-nous de poser des questions aux experts que nous auditionnons plutôt que de leur soumettre notre point de vue, nous aurons tout le loisir d'échanger entre nous sur les conclusions de nos travaux.
Quant à la communication envers les médias, elle est prématurée. J'ai moi-même opposé une fin de non-recevoir au Monde. Avec la rapporteure et le co-rapporteur, nous avons présenté l'objet de notre mission sur Public Sénat. Restons-en là pour l'instant. D'autant que les auditions sont enregistrées et ouvertes au public, sauf cas particulier, celui en l'occurrence de notre première invitée, qui a souhaité réserver ses propos à notre seul auditoire.