Ce prix final peut sembler assez bas, mais il faut tenir compte des coûts de traitement. Le problème est que les groupes qui traitent les cartes électroniques - Aurubis, Umicore, Boliden - sont très souvent étrangers. En France, Terra Nova se limite au concentrat et quelques sites pilotes travaillent sur des technologies de tri des métaux précieux. Non seulement ces grands groupes étrangers imposent des coûts de traitement assez élevés, mais les technologies actuelles sont axées sur la récupération de quelques métaux, et non de la totalité. La carte électronique n'est donc pas intégralement valorisée.