Bénédicte Barbotin, présidente de l'Association Française Fédérative des Étudiants en Psychiatrie :
D'après un sondage récent, 30 % des internes en psychiatrie souhaiteraient obtenir le DESC. Il y a donc un décalage. La difficulté de l'exercice en ville est liée à l'absence de valorisation des actes.