Jusqu'à la semaine dernière, nous fonctionnions à 100 % grâce à des fonds régionaux de l'ADEME ou de la BPI, la Banque publique d'investissement.
Nous avons abandonné toute tentative auprès de l'ANR, compte tenu des faibles taux de succès. Obtenir des financements de l'ADEME à l'échelon national est très compliqué, car cette agence ne peut financer que des sujets très particuliers. Les déchets industriels n'entrent pas dans leurs missions, contrairement aux produits en fin de vie. Nous avons ainsi proposé plusieurs projets sur les déchets miniers, notamment dans la barrière cévenole, mais il nous a été impossible d'obtenir des financements.
Nous avons remporté la semaine dernière un financement dans le cadre du programme européen de financement de la recherche et de l'innovation Horizon 2020.