J'ai dit tout à l'heure en plaisantant que nous avions créé notre propre Vatican : un religieux, reconnu comme une autorité en la matière, est à la tête de la direction générale des affaires religieuses. L'État ne se mêle pas de l'organisation de cette institution, certes placée auprès du premier ministre, mais indépendante en raison de ses fonctions religieuses.