Un des problèmes en France est l'absence d'une véritable veille stratégique, qu'elle soit économique ou réglementaire. Nous nous contentons d'une vigilance partielle, avec les moyens du bord. Les études européennes sur la toxicité des matériaux devraient être davantage mobilisées pour réguler en amont, afin d'éviter d'avoir à gérer des conséquences dans l'urgence.