Je rejoins votre analyse.
Il faut continuer à avoir un fleuron européen, et non uniquement français, dans le domaine des terres rares, sans prendre en compte le seul prix du marché. Pourquoi ne pas intégrer le potentiel d'évolution des technologies ? Beaucoup de start-ups réfléchissent à des projets.
Vous avez entendu M. Stéphane Pellet-Rostaing. Le Commissariat à l'énergie atomique a également pour démarche de transposer au civil les compétences extrêmement poussées acquises dans le nucléaire. La chambre syndicale de la métallurgie (CSM) ou l'Institut européen d'hydrométallurgie vont dans le même sens. Mais les seuls à bien connaître les contraintes, qu'elles soient technologiques ou environnementales, sont les industriels. Il faudrait parvenir à une réflexion commune, avec les start-ups et les universitaires.