Avant de clore ce débat, je voudrais, à la suite de Philippe Bonnecarrère, saluer votre sens de l'écoute et l'attention que vous nous avez toujours prêtée dans l'exercice de vos fonctions de secrétaire d'État aux affaires européennes. Nous savions votre engagement européen, qui ne date pas d'hier, et nous avons pu mesurer votre parfaite connaissance des institutions européennes et de leurs rouages, quelque peu complexes de prime abord.
Notre réflexion européenne se caractérise par sa transversalité, au-delà des sensibilités politiques des uns et des autres. Puisque nous traversons une période quelque peu agitée où certains partis ne parlent que de souverainisme, je conclurai par une formule empruntée à M. Juncker : plus on veut être souverain, plus on doit être européen.
Merci, monsieur le secrétaire d'État, de nous avoir accompagnés pendant ces quelques années. (Applaudissements.)