C'est la première des conditions : réduire au minimum le temps au cours duquel la partie du cerveau touchée n'est pas irriguée. Par ailleurs, il importe d'insister, au moment de la rééducation, sur le caractère réversible : rien n'est jamais perdu d'avance. Actuellement, aux États-Unis, sont menés des essais thérapeutiques de greffes de neurones.