Dans un téléphone portable, par exemple. Quant aux robots, ils vont des plus simples jusqu'à l'humanoïde.
Le président Jean-Yves Le Déaut suggère que l'Union européenne prenne en charge des missions en matière d'intelligence artificielle : mais si les services à Bruxelles sont performants sur les chartes éthiques, ils le sont beaucoup moins sur les aspects scientifiques. Lorsque nous avons rencontré les équipes de la Commission européenne, nous avons été fort déçus : nous étions mieux informés qu'elles ! Le CESE, qui prépare un rapport sur l'IA, fait le même constat. Les experts de la Commission européenne ne se sont pas emparés du sujet. Ils sont en retard par rapport aux scientifiques et aux politiques de notre pays. L'actualité est pourtant intense dans ce domaine !