Le second préalable, c’est le respect des Français et de la parole donnée.
Nous sortons de deux campagnes électorales qui auraient dû être l’occasion, pour les candidats, de dresser un état des lieux objectif de la situation du pays.
Nous savons maintenant ce qu’il en est.
D’ailleurs, je suggère qu’à l’avenir nous demandions à la Cour des comptes un audit six mois avant les élections, et non pas juste après pour justifier, à peine élu, l’abandon du calendrier des promesses électorales.