La recommandation n° 3 vise à intégrer avec la plus grande vigilance la dimension de l'égalité entre femmes et hommes dans tous les mécanismes de la PAC. Il n'y a pas d'opposition ? Nous sommes donc tous d'accord.
La recommandation n° 3 est adoptée.
La recommandation n° 4 préconise, à destination des futures agricultrices (élèves de l'enseignement agricole scolaire, apprenties et stagiaires à l'installation), une communication systématique sur les aides dédiées à la création d'entreprise par des femmes, comme le Fonds de garantie à l'initiative des femmes (FGIF). Elle vise aussi à les informer des nouveaux outils de financement que constituent par exemple les plateformes de dons ou prêts en ligne. Là encore, je ne vois pas d'objection.
La recommandation n° 4 est adoptée.
La recommandation n° 5 vise à mieux faire connaître, dans les différents territoires, les stages « Reprise d'exploitation agricole » et souligne l'intérêt d'initiatives telles que les « pépinières », qui permettent l'expérimentation des projets en conditions réelles, avant l'installation. Il me semble que nous sommes tous d'accord.
La recommandation n° 5 est adoptée.
La recommandation n° 6 rend hommage aux Centres de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), acteurs clés de la formation adulte et de la promotion sociale des agricultrices. Je ne vois pas comment il pourrait y avoir d'opposition...
La recommandation n° 6 est adoptée.
La recommandation n° 7 est favorable à la production systématique de statistiques sexuées concernant l'insertion professionnelle des diplômé-e-s de l'enseignement agricole, à tous les niveaux et dans les différentes filières, ainsi qu'à la production d'une étude systématique sur les difficultés à l'installation ressenties par les hommes et les femmes, qu'il s'agisse de l'accès aux aides ou à la terre. En cas de difficultés, nous nous prononçons aussi pour la désignation d'un-e référent-e dédié-e. Je fais observer que cette recommandation concerne les agriculteurs comme les agricultrices...