Il ne s'agit pas de faire des agricultrices ou futures agricultrices des mécaniciennes professionnelles, mais de leur enseigner le « kit » de base pour faire tourner leur exploitation au quotidien, sans avoir besoin de faire appel à leur mari - ou à un technicien - pour un oui ou pour un non. L'idée est qu'elles puissent être autonomes et leur éviter d'engager des dépenses pour de petites réparations très simples. Savoir vérifier un niveau d'huile, par exemple, peut leur rendre un grand service, sans pour autant faire concurrence aux entreprises dont on aura toujours besoin... Aujourd'hui, quand on passe le permis de conduire, on doit avoir des connaissances de base en mécanique. C'est important ! D'autant qu'il ne s'agit que de formations non obligatoires : ces stages dont la recommandation encourage la création et la généralisation s'adressent à des volontaires.