J'entends les arguments du rapporteur. Néanmoins, dans le cadre des règles publiées par le Bureau du Sénat dans un guide de bonnes pratiques, l'IRFM se décompose entre des dépenses que les parlementaires devront désormais justifier, et une autorisation de retrait représentant le tiers du total. Or le dispositif proposé par la commission ne traite que des remboursements de frais ; l'autre partie, qui n'est pas négligeable, disparaîtrait. En revanche, l'amendement des questeurs maintient l'intégralité de la somme, en la fiscalisant. Il n'y a donc pas de réponse pleinement satisfaisante. Il convient d'en débattre.