Je suis partisan de voter l’amendement n° 84 rectifié, mais je m’interroge.
Il est prévu que l’acceptation du dispositif emporte la rupture immédiate du contrat de travail et le versement par l’employeur de l’équivalent de l’indemnité de préavis à Pôle emploi. J’ai bien noté « par l’employeur », ce qui veut dire que toute fin de contrat serait à la charge de chaque parlementaire. Avec quels moyens ?
Les employeurs, ce sont bien les sénatrices et les sénateurs. Ce n’est pas l’AGAS. Alors, et je pose la question à Mme la présidente de l’AGAS, que fait l’association dans ce domaine ?