Monsieur le ministre, vous bénéficiez d’un état de grâce et je vous fais confiance, mais nous resterons vigilants.
Une autre façon de régler le problème, à plus long terme, serait de simplifier la mécanique. Je n’en veux pas aux fonctionnaires qui pataugent dans un système complexe. Afin de réduire leur nombre et de permettre ainsi à l’État de faire des économies, il faudrait commencer par simplifier les choses ! Il en va de même pour notre système fiscal.
Monsieur le ministre, nous serons à vos côtés non seulement pour veiller au grain, mais aussi pour vous aider dans un esprit constructif.