Monsieur le ministre, vous avez raison de dire qu’il faut régler ce problème des importations de vins espagnols. Nous aurons l’occasion de revenir sur ce sujet.
Je prends note de votre réponse s’agissant des épisodes de gel que nous avons connus, mais ces annonces suffiront-elles à rassurer les vignerons sinistrés ? J’y insiste, il ne faudrait pas que les épisodes de gel d’avril 2017, s’ajoutant à la grêle de 2014 et à la sécheresse de 2016 dans un contexte de marasme du secteur viticole, représentent pour les viticulteurs une sorte de coup de grâce. Il est essentiel que le Gouvernement tienne compte des situations de détresse que connaissent nombre d’entre eux.