Intervention de Chantal Deseyne

Commission des affaires sociales — Réunion du 26 juillet 2017 à 9h05
Situation des urgences hospitalières en liaison avec l'organisation de la permanence des soins — Examen du rapport d'information

Photo de Chantal DeseyneChantal Deseyne :

Vous relevez que, dans 21 % des cas, le recours aux urgences est un recours par défaut dû à l'absence d'une offre de soins de proximité. Comment faciliter le développement des maisons de garde ? Est-il possible de réinstaurer une obligation de garde pour les médecins ? Comment responsabiliser aussi les patients ? Qu'en est-il du recours aux urgences pour des cas qui relèvent de problématiques sociales et non sanitaires ? Ce n'est pas aux urgences de traiter ces cas.

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