M. le président. Monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, je voudrais tout d’abord, en votre nom à tous, saluer notre doyen, Philippe Madrelle, qui a présidé notre première séance, et le remercier de ses propos. Je souhaite également remercier nos secrétaires d’âge, benjamins de notre assemblée : c’est une fonction sympathique, mais qui passe toujours trop rapidement !