Monsieur le secrétaire général, pourquoi les intérêts du ministère des armées ne sont-ils pas pris en compte lors des cessions immobilières ? On peut comprendre que la ville de Paris ait besoin d'une aide importante de l'État pour créer des logements sociaux, compte tenu du prix des terrains, mais cette aide doit relever de l'État, pas du budget des armées.
Ma première question porte sur l'agence de reconversion. Son taux de reclassement du personnel se maintenait à 60,3 % en 2016, alors que l'objectif était d'atteindre 65 %. Quelles mesures ont été prises pour enrayer cette dégradation ?
Ma seconde question s'adresse à notre commission en général et à son président. Pourquoi les programmes 167 « Liens entre la Nation et son armée » et 169 « Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant » relèvent-ils de la commission des affaires sociales et non pas de la nôtre, comme c'est le cas à l'Assemblée nationale ?