Merci, monsieur le Premier ministre.
Au cours de cette mandature, il nous arrivera d’approuver vos propositions et nous le dirons franchement, en faisant fi d’éventuels procès d’intention qui nous feraient taxer d’alignement.
Il nous arrivera aussi d’être en désaccord. Je puis vous dire que nous vous le ferons savoir tout aussi franchement, mais certainement sans arrière-pensée tactique ou électorale.
En tout cas, sur le sujet européen, nous serons à vos côtés chaque fois que vous proposerez de faire progresser l’Europe et de faire en sorte qu’elle soit plus forte, plus unie et plus influente dans le monde.