N’ont-ils pas plutôt considéré qu’il y avait là un enjeu de coproduction industrielle pour faire un leader mondial de l’automobile ? Voilà ce dont on parle !
Si nous appliquions votre préconisation – ainsi que celle qui a été défendue tout à l’heure –, nous bloquerions immédiatement le rapprochement entre Siemens et Alstom. En effet, la condition de ce rapprochement pour faire un grand leader européen du ferroviaire, c’est justement que la France ne lève pas l’option.
Alors, oui, nous pourrions avoir une approche spéculative ! §Oui, nous pourrions envisager de toucher le bénéfice de 8 euros ! Je n’entends pas faire de leçon d’économie. Je me contenterai de souligner que si nous levions cette option, de toute façon, le cours, au moment même où nous revendrions nos actions, serait largement inférieur.