Je m'en réjouis encore. Nous avions aussi traité le sujet des profils nutritionnels, extrêmement dangereux à terme - même si sympathique au premier abord. La Direction générale (DG) Santé voulait interdire les publicités sur certains produits comme le camembert ou des biscuits, trop riches en sel, en sucres ou en matières grasses, avec des déclinaisons potentiellement très désagréables...
Face à ces dérives, nous avions adopté un avis politique en 2014, qui avait été suivi par plusieurs autres parlements nationaux. Un avis politique s'adresse directement à la Commission, tandis qu'une proposition de résolution européenne s'adresse à notre gouvernement. Le Parlement européen avait également critiqué le dispositif.