Le sujet, en Espagne, en Ecosse ou ailleurs, est passionnant. Certains s'appuient sur leur appartenance à l'Union européenne, d'autres affichent plutôt une prise de distance à son égard. Je propose d'étudier la situation des pays du groupe de Visegrad, que nous connaissons moins. Une telle analyse serait assez complémentaire de celle que nous pourrions faire sur l'Espagne ou de l'Italie du Nord. Autre sujet à préparer : les élections européennes de 2019, qui pourraient donner naissance à un Parlement européen europhobe - ce qui serait, après le Brexit, un événement majeur dans l'Union européenne.