Monsieur le président, 10 secondes, c’est peu.
J’ai bien entendu M. le secrétaire d’État, mais je persiste à dire que cela n’occulte ni la nécessité de revaloriser les salaires, ni la nécessité d’une participation démocratique des salariés, ni la nécessité de réfléchir à l’élimination des temps partiels, qui sont le plus souvent imposés. Il s’agit d’un débat crucial que nous devons avoir ensemble dans cet hémicycle.