La question qui se pose est celle de nos instruments juridiques en matière de concurrence et même de notre cadre de pensée.
Je vous invite à venir participer à cet échange. En effet, nous sommes aujourd'hui dans un jeu du prisonnier, ces plateformes, pour charmantes qu’elles soient, attirent les prisonniers-citoyens et les enferment dans des systèmes qui empêchent nos entreprises d’agir.