Monsieur le ministre d’État, je suis profondément déçu par votre réponse.
Puisque l’heure est au jeu de mots, vous me permettrez de vous dire que, même si, pour l’instant, on ne manque pas d’eau en France, je crains que, à force d’avaler des couleuvres, vous ne preniez le risque de manquer d’air.