Je parle de vos propos de conclusion.
Ce n’est pas le fait de décréter que certains sont prioritaires par rapport à d’autres dans l’attribution des logements sociaux qui réglera en quoi que ce soit la situation que vous venez d’évoquer.
La situation de la politique de la ville, nous la connaissons. Cela fait quarante ans que nous y sommes confrontés ; cela fait quarante ans que les fractures ne cessent de s’accroître.