J'y suis plutôt favorable. Ce serait un moyen de diversifier nos méthodes de travail et d'associer davantage de membres. À côté de l'élaboration de rapports d'information classiques, qui nécessitent un travail au long cours et une expertise détaillée, avec de nombreuses réunions, rencontres, nous pourrions envisager, en liaison avec les commissions ou l'office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, des rapports plus courts, peut-être dans certains cas plus percutants.