Simple coïncidence ou sujet dans l'air du temps, je viens de proposer un projet de résolution au Conseil de l'Europe pour travailler sur la situation de la gynécologie dans ses 47 états membres, par le prisme de la présence des gynécologues, des problématiques connexes et des violences qui peuvent être constatées ; bien entendu, ce n'est pas un travail à charge contre les gynécologues, lesquels ont fortement réagi aux propos de la secrétaire d'État dans la presse en s'offusquant des chiffres de violences obstétricales, de l'ordre de 75 %, qu'elle avait cités.