À l'époque où je suis arrivée au Sénat, il était proposé aux sénateurs de faire au cours de leur mandat un déplacement dans les territoires ultramarins. Si les contraintes budgétaires actuelles ne permettent évidemment plus de poursuivre cette pratique, je considère toujours qu'il est nécessaire pour défendre correctement les outre-mer d'en avoir une réelle connaissance de terrain. Si la visioconférence est aujourd'hui un outil, elle ne remplace cependant pas les indispensables déplacements dans les territoires.