Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, des ouvertures contenues dans votre réponse.
Permettez-moi de souligner la mobilisation de l’ensemble des collaborateurs des instituts français et des alliances françaises, auxquels nous devons rendre hommage. Ces femmes et ces hommes, qui travaillent souvent sur des contrats locaux, parfois toute une carrière, sont les ouvriers au jour le jour de la présence française à l’étranger : ne les oublions pas dans nos réformes !