Monsieur le ministre, vous avez évoqué le « coup de rabot ». Comme vous l’avez également laissé entendre, les politiques de la ville ont besoin d’un vrai coup de pouce. Afin de changer le visage de nos quartiers, pour reprendre les termes du Président de la République, il faut s’appuyer à la fois sur la cohésion et l’implication des habitants autant que des associations. Cohésion, solidarité, présence et proximité pour agir au quotidien : là, vous actionnez le bénévolat plutôt que la mise en œuvre de moyens financiers de la puissance publique.